Les anciens qui furent Corneille, Racine, Molière, Boileau, présentaient des quatrains avec successivement une rime forte, puis une rime faible, et enfin une rime forte pour terminer le triplet.
Dans la langue française, il y a deux fois plus de rimes faibles que de rimes fortes.
En procédant comme le fait Paul GIELEN, l’accent est mis sur les mots clefs de notre langue. C’est une sorte de syntaxe nouvelle.

« Je suis un citoyen et non pas un émir
Tu devrais diriger tous nos petits colloques
Je serai avec toi pour diriger le tir

Ne crains rien mon bijou je sais ce que tu vaux
Je ne te juge pas j’aimerais te connaître
J’habite une maison et non pas un château ... »