À la fin de son odyssée, Ulysse est de retour à Ithaque.
Mais le bonheur n’est pas au rendez-vous : Un mal étrange habite le héros et mine ses forces. Des images terribles surgissent parfois devant lui inopinément : des réminiscences, des représentations obsessionnelles qui le terrassent soudain. Un sort lui a-t-il été jeté ?
Athéna se révèle impuissante à le protéger de cette haine.
Pénélope ne le comprend pas, le houspille et lui dit d’aller se faire soigner.
Pour guérir sa névrose de guerre il hésite entre la médecine d’Hippocrate (avec un anachronisme poétique, mais Cronos brouille les clepsydres) et la magie de Circé.
Il repart donc incognito pour une nouvelle odyssée thérapeutique à la recherche de lui-même, et va retrouver, au terme de nouvelles aventures, celle qui maîtrisait si bien les philtres et les maléfices et saurait peut-être le désenvoûter : l’enchanteresse Circé.